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Frédérique FAGES : Ingénieur et juriste en environnement
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Étude des dangers | DDAE | dossier de demande d’autorisation d’exploiter | ICPE | installations classées | protection de l’environnement | intérêts à protéger | danger | prévention des risques | scénarios d’accidents | potentiels de dangers | évènements initiateurs | incendie | flux thermiques | explosion | ATEX | dispersion atmosphérique
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En tant que de besoin, l’étude de dangers donne lieu à une analyse de risques qui prend en compte la probabilité d’occurrence, la cinétique et la gravité des accidents selon une méthodologie qu’elle explicite. Elle définit et justifie les mesures propres à réduire la probabilité et les effets de ces accidents.
Étapes :
- 1 - Quelles sont les phases à mener pour l’identification et l’évaluation des risques ?
- 2 - Distinguez les différents moyens de maîtriser les risques
- 3 - Réduisez les potentiels de danger par le choix de mesures adaptées
- 4 - Évaluez la performance des barrières de sécurité
- 5 - Cotez les scénarios d’accident
- 6 - Caractérisez et classez les différents phénomènes d’accidents
- 7 - Identifiez les scénarios critiques et étudier leurs comportements — mesures d’amélioration
- 8 - Confrontez les résultats de vos calculs aux valeurs de référence
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Fiche
Fiches à lire
Faq
Comment calculer les distances d’effets d’un flux thermique ou de dispersion atmosphérique lorsque mon site est concerné par ces risques ?
Aller plus loin
Outil
Références réglementaires
- Code de l’environnement : il est composé d’une partie législative, une partie réglementaire et une partie annexes, laquelle comprend notamment la nomenclature des ICPE (l’article R. 512-33 du Code de l’environnement spécifie notamment les cas dans lesquels une étude de dangers doit être réalisée)
- Directive SEVESO II (n° 96/82/CE du 9 décembre 1996), modifiée, concernant la maîtrise des dangers liés aux accidents majeurs impliquant des substances dangereuses, plus usuellement appelée « Directive SEVESO II ».
- Décret n° 91-461 du 14 mai 1991, modifié, relatif à la prévention du risque sismique (abrogé par le décret n° 2007-1467 du 12 octobre 2007 et codifié au livre 5 partie réglementaire du Code de l’environnement) définissant les modalités d’application de l’article L. 563-1 du Code de l’environnement, en ce qui concerne les règles particulières de construction parasismique pouvant être imposées aux équipements, bâtiments et installations dans les zones particulièrement exposées à un risque sismique
- Arrêté du 29 septembre 2005 (dit PCIG) relatif à l’évaluation et à la prise en compte de la probabilité d’occurrence, de la cinétique, de l’intensité des effets et de la gravité des conséquences des accidents potentiels dans les études de dangers des installations classées soumises à autorisation déterminant les règles minimales relatives à l’évaluation et à la prise en compte de la probabilité d’occurrence, de la cinétique, de l’intensité des effets des phénomènes dangereux et de la gravité potentielle des accidents susceptibles de découler de leur exploitation et d’affecter les intérêts visés par l’article L. 511-1 du Code de l’environnement
- Arrêté du 10 mai 2000 (modifié par l’arrêté du 29 septembre 2005) relatif à la prévention des accidents majeurs impliquant des substances ou des préparations dangereuses présentes dans certaines catégories d’installations classées pour la protection de l’environnement soumises à autorisation récapitulant les règles méthodologiques applicables aux études de dangers, à l’appréciation de la démarche de réduction du risque à la source et aux plans de prévention des risques technologiques (PPRT) dans les installations classées en application de la loi du 30 juillet 2003
- Loi n° 2003-699 du 30 juillet 2003 (dite « Loi Risques ») relative à la prévention des risques technologiques et naturels et à la réparation des dommages a fixé un nouveau cadre méthodologique et de nouveaux objectifs ambitieux pour la politique de prévention des risques technologiques majeurs dans les installations classées, la rédaction des études de dangers, leur instruction et la politique de maîtrise de l’urbanisation autour des sites qui a été intégré au Code de l’environnement
- Décret n° 2005-1170 du 13 septembre 2005 modifiant le décret n° 77-1133 du 21 septembre 1977 pris pour l’application de la loi n° 76-663 du 19 juillet 1976 relative aux installations classées pour la protection de l’environnement
- Circulaire du 10 mai 2010 récapitulant les règles méthodologiques applicables aux études de dangers, à l’appréciation de la démarche de réduction du risque à la source et aux plans de prévention des risques technologiques (PPRT) dans les installations classées en application de la loi du 30 juillet 2003
- Circulaire DPPR/SEI2/FA-07-0066 du 4 mai 2007 relative au porter à la connaissance « Risques technologiques » et maîtrise de l’urbanisation autour des installations classées
Bibliographie
- Guide méthodologique national du 25 juin 2003, basé sur le modèle INERIS, version 1, du 20 mai 2003 « Outils d’analyse des risques générés par une installation industrielle »
- Circulaire du 10 mai 2010 récapitulant les règles méthodologiques applicables aux études de dangers, à l’appréciation de la démarche de réduction du risque à la source et aux plans de prévention des risques technologiques (PPRT) dans les installations classées en application de la loi du 30 juillet 2003
- Ineris — Formalisation du savoir et des outils dans le domaine des risques majeurs (DRA-35) Ω-7 Méthode d’analyse des risques générés par une installation industrielle (octobre 2006) et Ω-9 L’étude de danger d’une installation classée (avril 2006)
- Ineris — Étude et Recherche (DRA-014) Évaluation des performances des barrières techniques de prévention et de protection pour réduire les risques majeurs (résumé)- (2002)
- Ineris — Analyse des risques et prévention des accidents majeurs (DRA-34) Synthèse des attentes vis-à-vis de l’étude de dangers (2004)
- Ineris (DRA-35— W-19) Détermination des grandeurs caractéristiques du terme source nécessaires à l’utilisation d’un modèle de dispersion atmosphérique des rejets accidentels (2006)
- Ineris (DRA-35— W-16) Toxicité et dispersion des fumées d’incendie : phénoménologie et modélisation des effets (2005)
- Ineris (DRA-35— W-10) Évaluation des dispositifs de prévention et de protection utilisés pour réduire les risques d’accidents majeurs — Barrières techniques de Sécurité — (v2 — 2008)
- Ineris (DRA-35— W-12) Dispersion atmosphérique (Mécanismes et outils de calcul) (2002)
- Ineris (DRA-35— W-20) Démarche d’évaluation des barrières humaines de sécurité — DRA 77 — V2 (2009)
- Ineris (DRA-35— W-22) Principes et techniques pour la détection des gaz (2008)
- Ineris (DRA-35— W-21) Explosions de poussières : phénoménologie et modélisation des effets (2006)
- Ineris (DRA-35— W-5) Le BLEVE : phénoménologie et modélisation des effets thermiques (2002)
Abréviations et acronymes
AMDEC : analyse des modes de défaillances de leurs effets et de leur criticité
APR : analyse préliminaire des risques
ATEX : atmosphère explosive
BLEVE : Boiling Liquid Expanding Vapour Explosion — vaporisation explosive d’un liquide porté à ébullition
BS : barrières de sécurité
BTS : barrières techniques de sécurité
C : cinétique
CL : concentration létale
DS : dispositif de sécurité
EDD : étude de dangers
EI : événement initiateur/indésirable
EM : événements majeurs
ERC : événement redouté central
G : gravité
GPL : gaz de pétrole liquéfié
GR : gravité réduite
HAZOP : HAZard and OPerability
LII : limite inférieure d’inflammabilité
LSI : limite supérieure d’inflammabilité
MMR : maîtrise des risques
P : probabilité d’occurrence
PhD : phénomène dangereux
PPRN : plan de prévention des risques naturels
PPRT : plan de prévention des risques technologiques
PR : probabilité réduite
REI : résistance au feu avec R : résistance mécanique ou stabilité ; E : étanchéité aux gaz et flammes ; I isolation thermique
RIA : robinet d’incendie armé
SEI : seuil d’effets irréversibles
SEL : seuil d’effets létaux
SELS : seuil d’effets létaux significatifs
SER : seuil d’effets réversibles
SGS : système de gestion de la sécurité
UVCE : Unconfined Vapour Cloud Explosion — explosion de gaz à l’air libre
VTR : valeurs toxicologiques de référence
Glossaire
Événement non désiré, tel qu’une émission de substance toxique, un incendie ou une explosion résultant de développements incontrôlés survenus au cours de l’exploitation d’un établissement qui entraîne des conséquences/dommages vis-à-vis des personnes, des biens ou de l’environnement et de l’entreprise en général.
C’est la réalisation d’un phénomène dangereux, combinée à la présence de cibles vulnérables exposées aux effets de ce phénomène.
Événement tel qu’une émission, un incendie ou une explosion d’importance majeure résultant de développements incontrôlés survenus au cours de l’exploitation d’un établissement couvert par la présente directive, entraînant pour la santé humaine, à l’intérieur ou à l’extérieur de l’établissement, et/ou pour l’environnement, un danger grave, immédiat ou différé, et faisant intervenir une ou plusieurs substances dangereuses.
Vitesse d’enchaînement des événements constituant une séquence accidentelle, de l’événement initiateur aux conséquences sur les éléments vulnérables. Cf. articles 5 à 8 de l’arrêté du 29 septembre 2005.
Propriété intrinsèque d’une substance dangereuse ou d’une situation physique de pouvoir provoquer des dommages pour la santé humaine et/ou l’environnement.
Action d’un phénomène dangereux affectant une ou plusieurs installations d’un établissement qui pourrait déclencher un autre phénomène sur une installation ou un établissement voisin, conduisant à une aggravation générale des effets du premier phénomène.
Ensemble de la zone placée sous le contrôle d’un exploitant où des substances dangereuses se trouvent dans une ou plusieurs installations, y compris les infrastructures ou les activités communes ou connexes.
Élaborée sous la responsabilité de l’exploitant de l’activité industrielle, et en complément de l’étude d’impact, l’étude de dangers permet de cerner tous les risques induits par l’installation pour l’environnement et la sécurité des populations, ainsi que les moyens de les réduire. Une telle étude est soumise à enquête publique préalablement à toute délivrance d’autorisation d’exploiter l’installation concernée.
Événement, courant ou anormal, interne ou externe au système, situé en amont de l’événement redouté central dans l’enchaînement causal et qui constitue une cause directe dans les cas simples ou une combinaison d’événements à l’origine de cette cause directe. Dans la représentation en « nœud papillon « (ou arbre des causes), cet événement est situé à l’extrémité gauche.
Événement conventionnellement défini, dans le cadre d’une analyse de risque, au centre de l’enchaînement accidentel. Généralement, il s’agit d’une perte de confinement pour les fluides et d’une perte d’intégrité physique pour les solides.
Toute personne physique ou morale qui exploite ou détient l’établissement ou l’installation, ou, si cela est prévu par la législation nationale, toute personne qui s’est vu déléguer à l’égard de ce fonctionnement technique un pouvoir économique déterminant.
Fonction ayant pour but la réduction de la probabilité d’occurrence et/ou des effets et conséquences d’un événement non souhaité dans un système. Les principales actions assurées par les fonctions de sécurité en matière d’accidents majeurs dans les installations classées sont : empêcher, éviter, détecter, contrôler, limiter. Les fonctions de sécurité identifiées peuvent être assurées à partir d’éléments techniques de sécurité, de procédures organisationnelles (activités humaines), ou plus généralement par la combinaison des deux.
Unité technique à l’intérieur d’un établissement où des substances dangereuses sont produites, utilisées, manipulées ou stockées. Elle comprend tous les équipements, structures, canalisations, machines, outils, embranchements ferroviaires particuliers, quais de chargement et de déchargement, appontements desservant l’installation, jetées, dépôts ou structures analogues, flottantes ou non, nécessaires pour le fonctionnement de l’installation.
Libération d’énergie ou de substance produisant des effets, au sens de l’arrêté du 29 septembre 2005, susceptibles d’infliger un dommage à des cibles (ou éléments vulnérables) vivantes ou matérielles, sans préjuger l’existence de ces dernières. C’est une « Source potentielle de dommages « (ISO/CEI 51)
Plan définissant les mesures d’organisation, les méthodes d’intervention et les moyens nécessaires à l’exploitant pour protéger l’homme.
Document dont la finalité est d’établir une cartographie aussi précise que possible des zones de risque, d’interdire les implantations humaines dans les zones les plus dangereuses, de réduire la vulnérabilité des installations existantes et de présenter les capacités d’écoulement et d’expansion des crues. Il s’agit d’un outil de l’État régi par la loi du 22 juillet 1987 relative à l’organisation de la sécurité civile, à la protection de la forêt contre l’incendie et la prévention des risques majeurs, modifiée par la loi du 2 février 1995 (dite loi Barnier) relative au renforcement de la protection de l’environnement.
Système (naturel ou créé par l’homme) ou disposition adoptée et comportant un, ou plusieurs, danger(s). Dans le domaine des risques technologiques, un « potentiel de danger » correspond à un ensemble technique nécessaire au fonctionnement du processus envisagé.
Mesures visant à prévenir un risque en réduisant la probabilité d’occurrence d’un phénomène dangereux.
Le principe de précaution, selon lequel l’absence de certitudes, compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment, ne doit pas retarder l’adoption de mesures effectives et proportionnées visant à prévenir un risque de dommages graves et irréversibles à l’environnement à un coût économiquement acceptable.
Le principe d’action préventive et de correction, par priorité à la source, des atteintes l’environnement, en utilisant les meilleures techniques disponibles à un coût économiquement acceptable.
Caractérise le devenir, dans le temps et dans l’espace d’un ensemble de particules (aérosols, gaz, poussières) rejetées dans l’atmosphère. Elle définit donc la façon dont le nuage est transporté et dilué (effets de turbulence, gravité…).
Mesures visant à limiter l’étendue ou/et la gravité des conséquences d’un accident sur les éléments vulnérables, sans modifier la probabilité d’occurrence du phénomène dangereux correspondant (des mesures de protection peuvent être mises en œuvre « à titre préventif », avant l’accident, comme par exemple un confinement. La maîtrise de l’urbanisation, visant à limiter le nombre de personnes exposées aux effets d’un phénomène dangereux, et les plans d’urgence visant à mettre à l’abri les personnes sont des mesures de protection.
Probabilité qu’un effet spécifique se produise dans une période donnée ou dans des circonstances déterminées.
Risque pouvant se définir comme étant la probabilité qu‘un effet spécifique se produise dans une période donnée ou dans des circonstances déterminées. Le risque se caractérise à la fois par sa fréquence et par sa gravité.
Enchaînement d’événements conduisant d’un événement initiateur à un accident (majeur), dont la séquence et les liens logiques découlent de l’analyse de risque. En général, plusieurs scénarios peuvent mener à un même phénomène dangereux pouvant conduire à un accident (majeur). On dénombre autant de scénarios qu’il existe de combinaisons possibles d’événements y aboutissant. Les scénarios d’accident obtenus dépendent du choix des méthodes d’analyse de risque utilisées et des éléments disponibles.
Substances, mélanges ou préparations énumérés à l’annexe 1 partie 1, ou répondant aux critères fixés à l’annexe 1 partie 2, et présents sous forme de matière première, de produits, de sous-produits, de résidus ou de produits intermédiaires, y compris ceux dont il est raisonnable de penser qu’ils sont générés en cas d’accident.
On entend par terme source tout ce qui conditionne la formation du nuage dangereux, c’est-à-dire les caractéristiques de la source d’émission initiale éventuellement modifiées par le champ proche (ou environnement proche, ex : présence d’un mur, etc.).
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Annexes
Documents
-
Cotation de la probabilité
Une échelle de cotation de la probabilité est proposée par l’arrêté du 29 septembre 2005 relatif à l’évaluation et à la prise en compte de la probabilité d’occurrence, de la cinétique, de l’intensité des effets et de la gravité des conséquences des accidents potentiels dans les études de dangers des installations classées soumises à autorisation. -
Échelle d’appréciation de la gravité
Une échelle de cotation de l’appréciation de la gravité des conséquences humaines d’un accident à l’extérieur des installations est proposée par l’arrêté du 29 septembre 2005 relatif à l’évaluation et à la prise en compte de la probabilité d’occurrence, de la cinétique, de l’intensité des effets et de la gravité des conséquences des accidents potentiels dans les études de dangers des installations classées soumises à autorisation. -
Échelle d’appréciation de la cinétique
L’appréciation de la cinétique d’un phénomène n’est pas proposée par l’arrêté du 29 septembre 2005 relatif à l’évaluation et à la prise en compte de la probabilité d’occurrence, de la cinétique, de l’intensité des effets et de la gravité des conséquences des accidents potentiels dans les études de dangers des installations classées soumises à autorisation mais peut être défini par la définition des critères Rapide et Lent. -
Valeurs de référence de seuils d’effets des phénomènes dangereux
Des valeurs de référence de seuils d’effets des phénomènes dangereux pouvant survenir dans des installations classées sont proposées par l’arrêté du 29 septembre 2005 relatif à l’évaluation et à la prise en compte de la probabilité d’occurrence, de la cinétique, de l’intensité des effets et de la gravité des conséquences des accidents potentiels dans les études de dangers des installations classées soumises à autorisation. -
Méthodologie de comptage des personnes — hors ICPE SEVESO
Cette méthodologie est extraite de la circulaire du 10 mai 2010 récapitulant les règles méthodologiques applicables aux études de dangers, à l’appréciation de la démarche de réduction du risque à la source et aux plans de prévention des risques technologiques (PPRT) dans les installations classées en application de la loi du 30 juillet 2003. -
Grille d’acceptabilité du risque ou grille de criticité
Il s’agit d’une grille d’analyse de la justification par l’exploitant des mesures de maîtrise du risque en termes de couple probabilité — gravité des conséquences sur les personnes physiques. La détermination de la probabilité et de la gravité du risque permet de déterminer la criticité du scénario, en le plaçant dans une grille de criticité. Le caractère acceptable ou non du scénario sera fixé par rapport à ses conséquences sur des personnes extérieures au site. -
Exemple de tableau de synthèse de l’analyse des risques
Pour une meilleure compréhension de l’analyse des risques réalisée, les informations essentielles peuvent être regroupées sous la forme d’un tableau reprenant les critères de cotation et la cotation appliquée -
VTR établies pour chaque organisme
Ce tableau présente pour chaque organisme les VTR établies.
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